Je remercie
le papillon
qui hier après-midi
a bien voulu
passer le quart
de sa vie avec moi
Même
si je ne savais
pas non plus
quand il faudrait
mourir
Ni s’il y aurait
d’autres buissons
où nous
pourrions
nous retrouver plus
tard
Werner Lambersy, Hommage à Calder, 2017